Line Charette
Construction Chabitat

Mon nom est Line Charette, je suis entrepreneure en construction et je suis la fière détentrice d’un baccalauréat en administration des affaires, obtenu en 1985
J’ai adoré mon passage à l’UQO qui s’appelait à ce moment l’UQAH. En plus d’être étudiante à temps plein j’ai eu la chance de travailler au café étudiant, ce qui m’a permis de me tisser un réseau d’amis qui par la suite s’est transformer en réseau d’affaires et n’a fait que s’élargir avec le temps, d’ailleurs mon consultant en informatique ainsi que mon conseiller financier viennent de la même promotion que moi.
Pendant mes années à l’université j’ai eu la chance de faire partie du conseil étudiant pour une courte période. Comme quoi la gestion et l’implication sociale ont toujours été au cœur de mes préoccupations.
À l’époque aucun stage n’était offert ou proposé aux étudiants de ma concentration. Je me suis donc présentée à la Ville de Gatineau au printemps 1985 dans le but d’obtenir un stage non rémunéré dans le but d’acquérir un minimum d’expérience et d’enjoliver mon CV. J’ai obtenu ce stage qui devait à la base être non rémunéré pour l’été 1985 dans le service des ressources humaines.
À la fin de la période de stage et sans que l’on en ait discuté, j’ai reçu un chèque de la ville pour les heures travaillées. Mais ce n’est pas autant ce montant d’argent qui m’a été profitable que l’apprentissage que j’y ai fait. Mon stage s’est terminé la semaine précédente le début de la session d’automne qui devait être ma dernière session.
Quelques jours avant Noël, j’ai reçu un appel du directeur du personnel. il m’offrait d’assurer l’intérim du poste d’agent de personnel, car la personne qui occupait ce poste quittait. C’est ainsi que j’ai commencé mon séjour de 2 ans à la ville de Gatineau. Mes nouvelles connaissances du rouage municipal et mes nouveaux contacts au sein de la municipalité ont grandement facilité mon intégration dans l’entreprise familiale, je devenais le négociateur entre l’entrepreneur et la ville.
J’ai donc eu la chance dès l’obtention de mon diplôme de travailler en gestion, premièrement en gestion de personnel et ensuite comme gestionnaire dans l’entreprise familiale, on m’a utilisé à toutes les sauces.
Depuis 1997 je suis fière copropriétaires avec mes trois frères de l’entreprise familiale « Construction Chabitat », nous œuvrons ensemble dans le domaine de la construction résidentielle depuis plus de 25 ans.
Notre entreprise, Chabitat, a été finaliste pour différents prix au cours de ses années d’opérations soit les prix excellor de la chambre de commerce, le gala de l’excellence de l’environnement ainsi que la Pme de l’année banque nationale. Aussi nous détenons la plus haute distinction remis par l’association provinciale des constructeurs en habitation du Québec, soit la palme diamant, confirmant une qualité exceptionnelle de construction depuis plus de 25 ans.
En novembre 2012, j’ai eu le grand honneur d’être reconnue parmi mes pairs et d’être nommée personnalité de l’année de la chambre de commerce de Gatineau.
Je suis heureuse et comblée dans ce que je fais, j’ai étudié à l’université dans le but de devenir un grand gestionnaire et je peux dire qu’aujourd’hui je suis à la tête d’un chef de file dans l’industrie de la construction de notre région, mon entreprise « construction Chabitat »..
Être entrepreneur est un plaisir mais c’est aussi un défi de tous les jours, on doit y mettre l’énergie et l’ardeur et avoir le feu sacré. On a rien pour rien,
Mon plus grand défi a surement été d’être une femme dans un domaine d’hommes, de m’affirmer dans ce milieu ou souvent j’étais la seule femme et d’obtenir le respect de mes pairs. Quand on réussi à se démarquer comme individu en exploitant notre plein potentiel que l’on soit homme ou femme, il vient un jour où les gens vous remarque et c’est ce que les gens d’affaires ont fait en novembre dernier en me faisant l’honneur de me nommer personnalité de l’année 2012, ils m’ont dit « Bravo Line tu as réussi » .
Maintenant mon défi est de rester à la hauteur, et de continuer d’innover. Nous sommes à l’ère des médias sociaux, les gens sont de plus en plus informés, et conséquemment de plus en plus exigeants, nous devons nous adapter à cette tendance du marché sans cesse en évolution. Ce n’est peut-être pas demain que l’on achètera notre maison directement sur internet à Gatineau, mais c’est ainsi que pour l’instant l’on fait notre premier triage.
J’ai adoré mon passage à l’UQO qui s’appelait à ce moment l’UQAH. En plus d’être étudiante à temps plein j’ai eu la chance de travailler au café étudiant, ce qui m’a permis de me tisser un réseau d’amis qui par la suite s’est transformer en réseau d’affaires et n’a fait que s’élargir avec le temps, d’ailleurs mon consultant en informatique ainsi que mon conseiller financier viennent de la même promotion que moi.
Pendant mes années à l’université j’ai eu la chance de faire partie du conseil étudiant pour une courte période. Comme quoi la gestion et l’implication sociale ont toujours été au cœur de mes préoccupations.
À l’époque aucun stage n’était offert ou proposé aux étudiants de ma concentration. Je me suis donc présentée à la Ville de Gatineau au printemps 1985 dans le but d’obtenir un stage non rémunéré dans le but d’acquérir un minimum d’expérience et d’enjoliver mon CV. J’ai obtenu ce stage qui devait à la base être non rémunéré pour l’été 1985 dans le service des ressources humaines.
À la fin de la période de stage et sans que l’on en ait discuté, j’ai reçu un chèque de la ville pour les heures travaillées. Mais ce n’est pas autant ce montant d’argent qui m’a été profitable que l’apprentissage que j’y ai fait. Mon stage s’est terminé la semaine précédente le début de la session d’automne qui devait être ma dernière session.
Quelques jours avant Noël, j’ai reçu un appel du directeur du personnel. il m’offrait d’assurer l’intérim du poste d’agent de personnel, car la personne qui occupait ce poste quittait. C’est ainsi que j’ai commencé mon séjour de 2 ans à la ville de Gatineau. Mes nouvelles connaissances du rouage municipal et mes nouveaux contacts au sein de la municipalité ont grandement facilité mon intégration dans l’entreprise familiale, je devenais le négociateur entre l’entrepreneur et la ville.
J’ai donc eu la chance dès l’obtention de mon diplôme de travailler en gestion, premièrement en gestion de personnel et ensuite comme gestionnaire dans l’entreprise familiale, on m’a utilisé à toutes les sauces.
Depuis 1997 je suis fière copropriétaires avec mes trois frères de l’entreprise familiale « Construction Chabitat », nous œuvrons ensemble dans le domaine de la construction résidentielle depuis plus de 25 ans.
Notre entreprise, Chabitat, a été finaliste pour différents prix au cours de ses années d’opérations soit les prix excellor de la chambre de commerce, le gala de l’excellence de l’environnement ainsi que la Pme de l’année banque nationale. Aussi nous détenons la plus haute distinction remis par l’association provinciale des constructeurs en habitation du Québec, soit la palme diamant, confirmant une qualité exceptionnelle de construction depuis plus de 25 ans.
En novembre 2012, j’ai eu le grand honneur d’être reconnue parmi mes pairs et d’être nommée personnalité de l’année de la chambre de commerce de Gatineau.
Je suis heureuse et comblée dans ce que je fais, j’ai étudié à l’université dans le but de devenir un grand gestionnaire et je peux dire qu’aujourd’hui je suis à la tête d’un chef de file dans l’industrie de la construction de notre région, mon entreprise « construction Chabitat »..
Être entrepreneur est un plaisir mais c’est aussi un défi de tous les jours, on doit y mettre l’énergie et l’ardeur et avoir le feu sacré. On a rien pour rien,
Mon plus grand défi a surement été d’être une femme dans un domaine d’hommes, de m’affirmer dans ce milieu ou souvent j’étais la seule femme et d’obtenir le respect de mes pairs. Quand on réussi à se démarquer comme individu en exploitant notre plein potentiel que l’on soit homme ou femme, il vient un jour où les gens vous remarque et c’est ce que les gens d’affaires ont fait en novembre dernier en me faisant l’honneur de me nommer personnalité de l’année 2012, ils m’ont dit « Bravo Line tu as réussi » .
Maintenant mon défi est de rester à la hauteur, et de continuer d’innover. Nous sommes à l’ère des médias sociaux, les gens sont de plus en plus informés, et conséquemment de plus en plus exigeants, nous devons nous adapter à cette tendance du marché sans cesse en évolution. Ce n’est peut-être pas demain que l’on achètera notre maison directement sur internet à Gatineau, mais c’est ainsi que pour l’instant l’on fait notre premier triage.